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Que se passait-il en ces lieux ? Réponse


 

Chronique hebdomadaire n° 19 - Dimanche 16 mars 2025


1. Le château-fort, où logeait une garnison. Bernadette n’y est jamais allée. Le château comportait une petite chapelle où ont été rassemblés bien des éléments de l’ancienne église.


2. L’église Saint-Pierre, où Bernadette a été baptisée le 9 janvier 1844. Elle se situait à l’emplacement actuel du Monument aux morts.


3. Le cachot, rue des Petits-Fossés (sous-entendu : du château-fort). La famille Soubirous y réside depuis quelques mois à l’époque des Apparitions. Elle le quitte durant l’été 1858. 

 

4. La maison Cénac, en face du Monument aux morts, actuellement inoccupée. C’est là qu’habitaient à la fois le commissaire Jacomet (interrogatoire du 21 février), la famille Estrade chez qui Bernadette se rend le 25 mars après-midi pour se faire expliquer ce que signifie l’Immaculée Conception, et l’abbé Pène, le défenseur le plus ardent, et même imprudent, de Bernadette.



5. La maison Claverie où demeurait le procureur Dutour, « de filandreuse mémoire » d’après l’abbé Peyramale. Bernadette y est interrogée le 25 février. Le lieu de sa comparution est la salle-à-manger de l’actuel presbytère. L’entrée se faisait par le 8, rue de Bagnères













6. Le presbytère où Bernadette se précipite le 2 mars pour remplir la mission qui lui a été confiée : « Allez dire aux prêtres... ». Le 25 mars, elle vient porter la réponse que le curé attendait : Aquero a dit son nom.


7. Le domicile de l’abbé Pomian était, semble-t-il, au-dessus de la pâtisserie, à l’angle de la rue de l’Eglise. Les prêtres étaient donc logés tout près de l’église Saint-Pierre, mais séparément.


8. Le Café français, à l’angle de la rue de Bagnères. Au Café français, rendez-vous des notables, on ne pouvait que tourner en dérision de prétendues apparitions : pensez donc, au 19ème siècle ! Nous irons la semaine prochaine y lire le journal.

 
 
 

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